En 2014, l’érosion des prix de l’immobilier
s’est poursuivie avec un repli de 2,5% à Nice (contre -2,8 % pour la France). Les négociations entre vendeurs et
acheteurs sont souvent laborieuses et les délais de vente s’allongent
(notamment pour les grands logements), ce qui laisse augurer que l’ajustement des
prix n’est pas achevé. La bonne nouvelle de l’année dernière a
été l’augmentation du pouvoir d’achat des acquéreurs, et notamment des primo-accédants,
grâce à la faiblesse des taux d’intérêt de crédit immobilier. En outre, les investisseurs immobiliers, d’abord
effrayés par les annonces de la Loi Alur, ont commencé à revenir sur le marché.
Par contre, le marché des résidences secondaires continue d’être en perte de
vitesse.
Pour 2015, les prix de l’immobilier niçois devraient continuer à subir un léger repli, avec de fortes disparités selon les quartiers. Les vendeurs devront revoir leurs prétentions, surtout pour les biens mal placés et ceux avec des défauts.
Pour 2015, les prix de l’immobilier niçois devraient continuer à subir un léger repli, avec de fortes disparités selon les quartiers. Les vendeurs devront revoir leurs prétentions, surtout pour les biens mal placés et ceux avec des défauts.